Augmentation des taux, difficulté à emprunter…La situation semble compliquée en France. Nombre d’entre vous font ainsi le choix de la location car l’achat vous paraît impossible. Pourtant, sur le long terme, il est plus intéressant financièrement d’acheter sa résidence principale que de louer votre logement. Comment sortir de ce cercle vicieux ? Peut-être en commençant par comprendre qu’il n’y a pas un mais plusieurs marchés immobiliers et que tous ne se portent pas si mal, notamment en Île de France. On vous explique.

Résidentiel “général” VS résidentiel “haut de gamme”

"Nous sommes ici plus sur un retour à la normale qu'une véritable crise".

Avec l’augmentation des taux mais surtout avec le durcissement des conditions d’accès au crédit, devenir propriétaire sur Paris et sa région est de plus en plus compliqué. Il est clair que les prix sont en train de se tasser voir descendre légèrement par endroit. Les délais de vente sont plus longs. Cependant, attention aux cassandres : il faut comparer la situation aux 10 dernières années et non pas seulement à l’année passée ou celle d'avant. Il nous semble donc important de rappeler que nous avons vécu près de 10 ans exceptionnels dans l’immobilier, avec de bonnes conditions d’accès au crédit et à la propriété et que nous sommes ici plus sur un retour à la normale qu’une véritable crise.

Le marché résidentiel francilien « général » a les mêmes contraintes et opportunités que partout en France, si ce n’est que cette région est particulièrement touchée par l’interdiction de louer un bien ayant un DPE inférieur à E et donc de belles opportunités s’offrent à ceux qui se montreront capable de transformer ces passoires énergétiques en bien louables… Et ça tombe bien, c’est notre cheval de bataille !

Résidentiel "haut de gamme" : un marché porteur.

"Les délais peuvent être très courts et les meilleurs appartements, les mieux placés, sans défauts, partent dans la journée".

Car s’il y a un marché qui fonctionne différemment et qui se porte bien, c’est celui du résidentiel « haut de gamme ».. Les acheteurs n’ont pour la plupart pas besoin de crédits. L’effet Amélie Poulain puis maintenant l’effet Emily in Paris rendent très attractive la capitale pour les étrangers qui rêvent de venir habiter Paris. Le secteur de l’immobilier haut de gamme comme l’immobilier de luxe ne s’est jamais aussi bien porté, les biens sans défauts se font rares et des records de vente au mètre carré sont régulièrement battus. Les délais peuvent être très courts et les meilleurs appartements, les mieux placés, sans défauts, partent dans la journée.

Donc rien de tel que d’acheter en résidentiel « général » et de faire passer l’appartement en résidentiel « haut de gamme » pour maximiser sa plus value. Et pour ça il n’y a pas de secret, juste du savoir-faire. 

• Savoir acheter des biens à fort potentiel de rénovation, dans les quartiers recherchés, dans des immeubles remarquables, jouer le jeu des changements de disposition : une copropriété ne peut pas être changée, ni l’exposition, ni le bruit mais pour tout le reste il y a des solutions d’architecture et de design. 
• Savoir mettre en valeur des éléments anciens tout en les combinant à un confort moderne, respectant les meilleurs standards écologiques. Être exigeant sur la réalisation des travaux. Ne pas hésiter à mettre le prix sur quelques éléments spécifiques de mobilier, ou sur un aménagement sur-mesure.

Il y a donc clairement un marché à deux vitesses actuellement en France entre le résidentiel général et le résidentiel haut de gamme avec des évolutions qui sont radicalement différentes et des opportunités à saisir. C’est en passant de l’un à l’autre marché que Kyka tire son épingle du jeu et vous aide à investir. Alors, prêt à acheter votre appartement ?